MONSTER CALLS (A)
editÀ 12 ans, le petit Conor en a gros sur la patate : chétif et rêveur, il est le souffre-douleur attitré de l’école, mais il ne trouve pas d’oreille compatissante auprès de sa famille. Son père ? Parti vivre une nouvelle vie aux Etats-Unis. Sa mère ? Sa mère… Conor l’adore, mais il n’a pas envie de lui causer des soucis supplémentaires. Un cancer particulièrement agressif la ronge de l’intérieur et toutes les tentatives de remèdes l’épuisent chaque jour un peu plus. Sa grand-mère ? Aussi affable qu’une porte de prison. Conor est désespérément seul dans ce monde trop moche… Son seul refuge, c’est son imaginaire qui commence doucement à prendre le pas sur la réalité. Et tous les soirs, quelques minutes après minuit, un monstre géant vient le voir. Il n’est pas là pour le rassurer ou le protéger, il est là pour lui raconter trois histoires particulières qui lui enseigneront le vrai courage…
Tout simplement, un chef d’œuvre d’émotion qui a terrassé toutes les critiques, même les plus implacables, lors de sa sortie en 2016. Oui, A MONSTER CALLS est un film culte, un monument sur le deuil et le passage à l’âge adulte, un uppercut émotionnel dantesque, porté par un casting hors normes : Felicity Jones, Sigourney Weaver ou encore Liam Neeson. Et, puisque nous avons le plaisir et l’honneur d’avoir J.A. Bayona (EL ORFANATO, THE IMPOSSIBLE, JURASSIC WORLD : FALLEN KINGDOM) au BIFFF cette année, l’occasion est trop belle pour ne pas rappeler A MONSTER CALLS à nos bons souvenirs…
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